Au delà d’un projet hors d’échelle, 19 ha, soit la superficie de 30 stades de football,
provoquant l’abattage de 7000 arbres, on peut s’interroger sur le trajet (Fig 1) emprunté
par la dorsale de raccordement entre la centrale photovoltaïque et le point de raccordement de Cajarc. Le choix d’un acheminement par le Causse alimente toutes les suspicions sur les objectifs de cette option : une autre aurait été simplement de redescendre sur Tour-de-Faure, de connecter au réseau la centrale électrique de Méline dont la puissance vient d’être augmentée, et de poursuivre par la vallée (Fig 2) (un trajet équivalent à quelques km près, utilisant une voie déjà artificialisée).
Que des propriétaires, sur le trajet de cette dorsale, aient reçu des propositions de contrats d’implantation (Fig3), /…
…/ que des travaux d’importance (renforcement de ligne de transport électrique) soient envisagés sur le point de raccordement de Cajarc, ne fait que renforcer nos suspicions de voir toute une partie du Parc Régional des Causses du Quercy, entre Lot et Célé, transformé par des raccordements multiples, en Usine Photovoltaïque (Fig 4).
La multiplication potentielle des méga-parcs le long de la dorsale de raccordement au point de livraison de Cajarc
Les travaux d’enfouissement, ne sont pas une simple tranchée de 50cm de large : c’est en général un massacre au bulldozer, effectué par les sous-traitants d’ENEDIS.